Le train Thailandais bientôt sur les rails ?

Pour une fois les Chinois ne sont pas entièrement sur le front. En effet, les 670 kilomètres de voies ferrées entre Bangkok et Chiang Mai ne sont pas loin de se « mettre en route ». Enfin … l’investissement !

C’est un projet japonais de train à grande vitesse et même le dossier semble ne pas avancer aussi lentement que les autres !

Quand on sait que tous les trains pour Chiang Mai, pourtant bien lents (10 heures et bien des risques de pannes ou d’accidents)  étaient complets à Bangkok de Noël au Nouvel An, il y a une population fébrile qui attend cet investissement et cette modernisation depuis des années …

Toutefois le gouvernement prévoit de réduire la vitesse  des convois pour réduire le coût global des investissements.

A moins qu’on réduise aussi le vitesse du dossier ?

Il rêvait d’une autre rive…

Comment se procurer cet ouvrage ?

Au Cambodge, en vente au prix de 10 dollars, dans les librairies des aéroports. A Bangkok et Phnom Penh aux « Carnets d’Asie », librairies des Instituts français. Également livré par Asia Connection.

Par correspondance, envoyer un chèque sous pli à cette boite postale : PO Box 1536 – 12000 Phnom Penh, avec une adresse de livraison.

Pour la France, envoyer un chèque de 10 €uros à : JM, 4, boulevard Froissart, 59300 Valenciennes. Le livre vous sera envoyé par la poste en avril 2018.

Sur Amazon évidemment !

Les Khmers Rouges ont rendu l’âme, même si pas un d’entre eux finalement n’a reconnu ses « crimes ». Comment les victimes peuvent-elles vivre en paix dans cette situation ?
Victimes indirectes des traumatismes, les enfants du génocide cambodgien, et aujourd’hui encore ses petits-enfants, sont marqués par un rapport étrange entre la vie et la mort. Comme si la vie était en suspension. Comme si la mort était une fatalité attendue au quotidien.
Marc, enseignant français, arrivé à Phnom Penh dans les années de reconstruction, découvre l’après-guerre, se sent missionnaire de la langue française et participe à former des esprits ouverts à un meilleur futur. Vite passionné par son travail et par le charme d’une ville aussi belle qu’anéantie, il s’engage sur une moto, sur un bateau, sur un projet fou, traverse une rivière pour en atteindre une autre et planter quelques pilotis…
De rêve en rive, et en dérive, sa vie va basculer dans le mythique fleuve Mékong, peu après la rencontre impromptue d’une âme perdue. Un enfant de la misère, Ptiot, victime de seconde génération, porte en lui un traumatisme qu’il essaie d’évacuer en se projetant au-delà de son propre horizon.
D’un quotidien vide, où il ne fait que rêver, … d’une autre rive, il va atteindre son but, s’envoler, tout en se cognant la tête à des obstacles. En lui, une malédiction. Celle-ci va le ronger, jusqu’au drame.

 

A propos de l’auteur

Originaire de Valenciennes, Jean Morel a le don de s’attacher là où il passe et pourtant il voyage avec curiosité à travers les cultures. Successivement fonctionnaire des Ministères français de l’Éducation, du Commerce, de l’Économie et des Affaires Étrangères, il n’a cessé de bouger et d’écrire.

Arrivé au Cambodge en 1992 comme Conseiller du Gouvernement Royal au Cabinet du Conseil des Ministres avant les élections de 1993. Il va y enseigner à diverses reprises dans les universités et surtout a réouvert l’ENA locale comme premier intervenant.

Il a aussi encouragé moults actions en faveur de la francophonie et participé à la création de la Société des Editions du Mékong.

Expert de la Commission européenne, président ou fondateur d’associations dont AMICA (Assistance Médiation Internationale) évoluant au Cambodge depuis 1992.

Il n’a pas seulement fréquenté de belles tables de conférences et plusieurs cabinets, il a aussi enseigné peu après pour l’Institut Vatel Thaïlande à Bangkok et rencontré au cours de ses périples des enseignants en hospitalité autant que des ministres, ambassadeurs et des premiers ministres.

Humain et Humaniste, il a vécu bien des obstacles avec l’achat d’une maison, celle de ses rêves, au bord du Mékong.

 

 

L’usage de l’huile de palme comme énergie, l’U.E. tire le frein…

L’Indonésie et la Malaise sont en colère. L’Union Européenne vient en effet de limiter l’usage de l’huile de palme en Europe, huile dont ces deux pays sont les principaux producteurs mondiaux.

Des manifestants avec de nombreuses banderoles se sont rassemblés à Kuala Lampur, la capitale malaise, devant l’Ambassade européenne, pour condamner la décision des parlementaires européens qui conduirait de facto à limiter les importations d’huile de palme mais serait surtout lourde de conséquences sur les prix du marché.

(AP photo)

Top palm oil producers Indonesia and Malaysia on Thursday criticized the European Union for backing a ban on the use of palm oil in bio-fuels, with a Malaysian minister calling the move a protectionist trade barrier and a form of « crop apartheid ». European lawmakers approved draft measures on Wednesday to reform the power market there and reduce energy consumption to meet more ambitious climate goals. The plan includes a ban on the use of palm oil in motor fuels from 2021.

Indonesia and Malaysia are the world’s top two palm oil producing countries, accounting for nearly 90 percent of global supply. A large portion of European palm oil imports are used to make « bio-fuels », giving the industry’s top two producers cause for concern as they fear overall demand will fall. « This vote is very disappointing. It’s a black day for free trade. You are discriminating against palm oil, » Malaysia’s Minister of Plantation Industries and Commodities Mah Siew Keong told reporters at an industry conference.

By allowing other vegetable oils to be used in bio-fuels, the EU was discriminating against palm oil, he said. « The EU is practicing a form of crop apartheid, » Mah said … Palm oil exports are a key source of revenue for Malaysia. The European Union is its second-biggest market after India.

Indonesian Trade Minister Enggartiasto Lukita told reporters in Jakarta there should be fair treatment for all vegetable oils, and that Indonesia had protested the EU’s « negative campaign » on palm oil on several occasions. The palm oil industry has come under fire in Europe over its impact on forest destruction and Southeast Asian producers have faced calls to meet higher sustainability standards.

Mah said Malaysia’s ambassadors in the 28 EU member countries will raise objections and that he will work closely with Indonesia to protect the interests of smallholders.

« The government will not tolerate the denigration of the palm oil industry and will ensure Malaysia gives a fitting response to those who harm the palm oil industry, » Mah said …

The Indonesian Palm Oil Association, or GAPKI, will work with the government to « lobby » against the « discriminatory » EU proposal, said Fadhil Hasan, a board member.

« We have to react firmly and clearly say that this is not a good policy. It doesn’t help strengthen trade and economic relations among (palm oil) producing countries and Europe, » Hasan said on the sidelines of the Kuala Lumpur conference.

The rules endorsed by the EU on Wednesday are not final. The European Parliament, the executive European Commission and EU national governments must now negotiate a final draft of the legislation and vote to approve it.

Industry analyst James Fry said the EU move, if finalized, would cause « turmoil » in the vegetable oil market in Europe.  « The practicalities are likely to be unpleasant for the EU. For palm oil, I won’t be surprised if the end result is very little change in the price, because the market will balance itself, » he said.

K.L. : REUTERS

En Malaise, l’indice de l’Huile de Palme a baissé la semaine dernière de 0,5 % à l’annonce de cette orientation du marché, marquant ainsi la préoccupation des investisseurs sur les prix…

N.B. : Dans le cadre des Accords de Paris sur le réchauffement climatique, le focus a été porté de manière claire sur ces deux pays qui détruisent depuis des années, et continuent à le faire, de la forêt primaire en faveur de toujours plus de plantations de palmiers à huile !

 

JMDF

Nouvel aéroport bientôt à Phnom Penh ?

Alors que l’Aéroport Notre-Dame des Landes tourné vers l’Océan Atlantique est abandonné avec sagesse par le gouvernement français,

Alors qu’il y a quelques mois à peine fut inauguré par les autorités cambodgiennes le nouveau terminal passagers de l’aéroport international de Phnom Penh – Pochentong, aménagé par une société du groupe Vinci gestionnaire d’une concession pour 50 ans encore,

Voilà qu’un nouveau projet d’aéroport, disons « chinois », vient d’être confirmé par le gouvernement royal du Cambodge. Il serait implanté dans la province de Kandal …

Au-delà de la petite ville de Takhmao où réside le plus souvent la famille du Premier Ministre, dans le District de Kandal Stung, situé à une vingtaine de kilomètres de la capitale du Cambodge, un ambitieux projet de construction va voir le jour sur 2600 hectares de terres.

Une « joint-venture », Cambodia Airport Investment Co, initiée par un businessman de Phnom Penh, avec le Secrétariat d’Etat cambodgien à l’aviation civile, ne révèle pas complètement comment emprunter plus d’un milliard de dollars.

Un conglomérat  cambodgien ? En fait, dieu soit loué, les prêts sont déjà largement acquis grâce à un accord de la … China Development Bank. Ceci au titre de la bonne coopération entre les deux pays Cambodge et Chine.

La même chose est programmée pour l’aéroport international de la ville touristique de Siem Reap. Les travaux sont commencés et avancent à grands pas. Sans soucis financiers. Excit le groupe français Vinci qui les gère ? – Il faudra ajouter bien sûr quelques grosses indemnités de compensation aux importants coûts des projets cambodgiens pour la prochaine décennie.

Le Cambodge s’endette notablement pour son développement, encouragé il est vrai par plusieurs années d’une forte croissance économique. Mais quelles générations rembourseront la Dette ?

Il est vrai que dix millions de touristes chinois sont attendus pour piétiner les sites archéologiques dans les prochaines années post-Covid.

Logique !

JMDF revu 1/21

Manuel International des bonnes manières à Table (Table Manners)

Comment se procurer cet ouvrage ?

  • Envoyez un chèque de 20 euros à cette adresse – libellé à ce nom :

Morel – B.P. Box N° 1536 – Phnom Penh 2 – 12000 – Cambodge.

L’ouvrage (publié en anglais par le groupe VATEL) est également en vente à l’Ambassade de France / Institut Français de Phnom Penh (Carnets d’Asie à Phnom Penh et à Bangkok)

Ainsi qu’à la librairie des aéroports du Cambodge.

Il vous sera envoyé par la Poste gratuitement à l’adresse de votre chèque où que vous soyez (frais de timbres 10 dollars payés par la maison d’édition.

 

Art de la table – Courtoisies

Les Britanniques ont de la chance car leur langue s’impose plus ou moins sur la planète. Les Français ont de la chance car c’est leur « Art de la table-» qui s’impose à l’international.

L’objectif de cet ouvrage est de vous faire gagner 30 % des capacités qui  vous manquent (peut-être ?) pour voyager à travers les cultures de l’hospitalité.

Rassurez-vous sur votre niveau de communication en parcourant les thèmes, les coutumes et les recommandations… Au grè de vos voyages, parcourez-les à votre convenance. Ceci est un manuel qui se lit dans tous les sens et avec tous les sens.

“Renforcez votre personnalité par le savoir-vivre”

A propos de l’auteur

Originaire de Valenciennes, cité de Froissart, Jean Morel a le don de s’attacher là où il passe et pourtant il voyage avec élégance à travers les cultures.

Successivement fonctionnaire des Ministères français de l’Éducation, du Commerce, de l’Économie et des Affaires Étrangères, il n’a cessé de bouger et d’écrire. Arrivé au Cambodge en 1992 pour devenir Conseiller du Gouvernement Royal.

Expert de la Commission européenne, président d’associations, il n’a pas seulement fréquenté de belles tables et de beaux chais, il a aussi enseigné des années pour l’Institut Vatel Thailand à Bangkok et rencontré au cours de ses périples des enseignants en hospitalité et les chefs des plus grands établissements hôteliers.

Une « muraille flottante » descend maintenant le Mékong

Les choses sont claires dans les films de Kung Fu : les chevaliers étrangers se présentant devant les hérauts chinois ne connaissent de négociations qu’à coups du duels sportifs et violents ou bien à coups d’échanges de sabres sanglants entre délégations aguerries. Les bagarres sont époustouflantes Et ce sont toujours les bons qui gagnent.

Il est permis de penser que les cinq pays du Mékong que sont le Myanmar, la Thaïlande, le Laos, le Cambodge et le Vietnam sont unanimement « remontés », comme cinq poissons dans une nasse, chacun avec ses propres raisons, contre le sixième membre de la communauté qu’est la Chine ! La Chine non seulement est entrain de devenir la première puissance mondiale mais … ce sont de Chine que proviennent la plupart des eaux de ce fleuve mythique qu’est le Mékong.

Hé bien non ! Réunis hier au Cambodge, les représentants des pays du Mékong ont réussi à s’entendre sans bagarre outrancière. Au contraire, un plan quinquennal de coopération a été adopté par les six pour toutes les choses relatives au développement économique possible le long de ce grand fleuve se jetant dans le Mer de Chine par le Delta du Vietnam. Bravo !

Néanmoins, il n’est pas impossible de penser que le roi du Kung Fu, au demeurant le premier ministre chinois Li Keqiang, ait proposé ce plan aux cinq ministres des affaires étrangères présents à Phnom Penh, ait imposé ses vues ou tout au moins imposé ce joli « deal pacifique » qui permettra peut-être dans les cinq prochaines années de préserver à la fois les intérêts du Mékong et les intérêts chinois, si … !

Bref, est-ce un bon deal ?  Certaines têtes n’étaient-elles pas sous le glaive ? Le Cambodge nouveau « copain » de la Chine a t’il joué le rôle du metteur en scène ?

Vive la paix, la prospérité et la coopération. Les relation amicales et le développement économique des intérêts communs et partagés…

Dommage que chacun sente à ces propos que chacun est bien chez soi si l’autre n’interfère pas dans les affaires du voisin … Alors, il coulera encore bien de l’eau du Mékong dans les rivières du Kung Fu et le sang des acteurs ne sera pas versé puisqu’il n’y aura pas de dispute.

Des millions de gens vivants sur les rives et sur le fleuve, se souciant si peu de l’environnement, vont en témoigner pendant cinq ans, un peu prisonniers de leur destin et étonnés de ne pas comprendre ce qu’est une « muraille flottante » mais … Ils verront passer bien des Chinois …

Ensuite, peu importe ce que deviendront ces pauvres gens-là … !

JMDF

JMDF

La guerre du riz n’aura pas lieu !

Des tensions sur le marché international du riz sont nées en 2017 et la compétition 2018 ne cesse d’inquiéter certains producteurs mais aussi certains clients qui s’interrogent sur l’évolution des cours mondiaux de cette « matière première » précieuse pour la nourriture de la population, dans bien des pays pauvres, mais dont les exportations représentent moins de 10% de la production totale cumulée. Ceci signifie que les producteurs de riz sont les pays qui consomment intérieurement et que la demande internationale est relativement pauvre ailleurs.

L’Inde est le premier producteur mondial et nourrit une population sans cesse croissante. Autosuffisant, le pays commence à exporter. La Thaïlande est, elle, le premier exportateur mondial depuis de nombreuses années. Mais elle doit faire avec les acteurs performants de plus en plus nombreux : Le Vietnam est le premier d’entre eux pour la quantité, la Malaisie, les Philippines. même le Cambodge apparaît comme un nouveau performeur en matière de qualité à l’export.

Il reste que les prix mondiaux ne sont pas régulés puisque le marché international est restreint. L’acteur le plus puissant sur les prix à l’export reste donc la Thaïlande… Ce pays régule effectivement sa demande intérieure pour garantir des revenus à ses agriculteurs.

D’ailleurs, l’ex première ministre thaïlandaise Yingluck Shinavatra n’est-elle pas tombée accusée d’avoir manipulé les cours sur le marché intérieur thaïlandais au détriment des producteurs payés trop tardivement ? Un système qu’elle n’avait pas mis en place. L’Etat gère au Siam…

L’Afrique qui est productrice de riz n’est pas exportatrice puisque ses besoins restent énorme. Cependant le marché pose de nombreux problèmes et pourrait exploser cette année ou plutôt les années prochaines (Quand l’Afrique s’éveillera !) .

Très mal organisée face à la compétition des pays asiatiques, l’Afrique ne parvient pas à s’auto suffire dans cette alimentation de base et surtout ne parvient pas à produire plus de riz de grande qualité à des prix compétitifs. Même si des Chinois essaient parfois de donner des leçons. De ce fait, l’Afrique importe du riz au lieu d’agir sur le cours mondial face aux produits moins chers et moins bons et face aux pays asiatiques qui continuent de dominer le marché.

Les Thaïlandais stockent le riz et sont soupçonnés de conserver leur stock, en vue de l’export, à l’aide de produits chimiques qui en altèrent la qualité . D’ailleurs, en 2017, les Thaïs auraient bien exporté plus qu’ils n’auraient produit, 11 millions de tonnes au lieu de 10 ! Les stocks asiatiques permettant d’agir sur le cours et le riz siamois parfumé au jasmin considéré comme un des meilleurs du monde reste l’un des plus recherchés et parfois parmi les plus coûteux. C’est un élément qui donne au riz thaïlandais l’avantage d’être une référence.

Un des facteurs intervenant cette année 2018 sur le marché est une demande croissante d’importations au Moyen-Orient. La fin de la guerre en Syrie (et au Yémen ?) pourrait avoir des conséquences également. Ce facteur pourrait s’ajouter à la prise de conscience de certains pays africains d’encadrer le prix du riz et de développer la riziculture de manière volontariste par une politique enfin efficace et un marché coordonné.

De nombreux experts estiment que la concurrence entre les pays exportateurs de riz en 2018 sera d’autant plus plus grande que des événements climatiques pourraient avoir une incidence directe sur la production dans certains pays (Vietnam, delta du Mékong ? Ouragans !) et partant sur les cours mondiaux du riz.

La Chine n’est pas déstabilisatrice actuellement sur ce marché. ce ne sera pas toujours le cas. Hong Kong entre autres importe le riz parfumé au jasmin thaïlandais. Aussi les États-Unis, Singapour, le Canada et un peu l’ Europe occidentale.

Gageons que la situation actuelle relativement « pacifique » dans le domaine des exportations de riz pourrait être troublée dans les prochaines années par le marché hors-Asie. Il arrivera peut-être que l’Afrique perturbera le cours mondial des choses. Perspective à moyen terme sans doute. Entre-temps, chacun s’active pour faire mieux que l’an dernier, de produire meilleur, et parvenir aux meilleurs prix sur le marché.
Pas tout de suite la guerre des riz…
JMDF

OUI à Notre-Dame des Landes

DECISION ENFIN
TIME TO DECIDE !
 
Après mûre réflexion, j’ai décidé d’être favorable au nouvel Aéroport « Notre-Dame des Landes » ! Il faut avoir pris une bonne bière en terrasse face à la Cathédrale de Nantes avec ses amis pour faire le point précis des nuisances, en plein centre ville, lorsque les gros porteurs passent à basse altitude. C’est inouï. comment on pourrait tolérer cela sur Notre-Dame à Paris ? Pourquoi à Nantes ?
 
Or, l’espace disponible créé par la fermeture du vieil aéroport sera un « plus » pour le développement social d’une ville dynamique où la tradition et la modernité vont de pairs et qui a une classe brimée et révoltée ayant besoin d’espace et d’espoir.
 
De plus, créer une grand aéroport régional est une infrastructure comme la France en a besoin quand on dit depuis longtemps que la relance et le plein emploi passeront par des « grands travaux ». Il faut savoir que cet aéroport ambitieux (comme le fut Roissy en son temps) va faire naître de l’activité sur tout l’Ouest de la France jusqu’à Bordeaux. tout le monde s’en félicitera dans 20 ans !
 
Alors, faisons-le.
 
JMDF : un économiste écolo !