roman

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Jean Morel

Il rêvait d’une autre rive

*
roman

(publié à Phnom Penh le 29 août 2014)

–  L E S   E D I T I O N S   D U   M E K O N G  –

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JAN sort en AOÛT 2014 son premier roman aux Editions du Mékong – prix de vente 10 €

 » Il rêvait d’atteindre une autre rive… »
roman

 

Les Khmers Rouges ont rendu l’âme ; même si pas un d’entre eux n’a reconnu ses « crimes ». Comment les victimes peuvent-elles vivre en paix dans cette situation ?

Victimes indirectes des traumatismes, les enfants du génocide cambodgien, et aujourd’hui encore ses petits-enfants, sont marqués par un rapport étrange entre la vie et la mort. Comme si la vie était en suspension. Comme si la mort était une fatalité attendue au quotidien.

Marc, enseignant français, arrivé à Phnom Penh dans les années de reconstruction, découvre l’après-guerre, se sent missionnaire de la langue française et participe à former des esprits ouverts à un meilleur futur. Vite passionné par son travail et par le charme d’une ville aussi belle qu’anéantie, il s’engage sur une moto, sur un bateau, sur un projet fou, traverse une rivière pour en atteindre une autre et planter quelques pilotis…

De rêve en rive, et en dérive, sa vie va basculer dans le mythique fleuve Mékong, peu après la rencontre impromptue d’une âme perdue. Un enfant de la misère, Ptiot, victime de seconde génération, porte en lui un traumatisme qu’il essaie d’évacuer en se projetant au-delà de son propre horizon.

D’un quotidien vide, où il ne fait que rêver, … d’une autre rive, il va atteindre son but, s’envoler, tout en se cognant la tête à des obstacles. En lui, une malédiction. Celle-ci va le ronger, jusqu’au drame.

 

 

Les Khmers Rouges ont rendu l’âme ; même si pas un d’entre eux n’a reconnu ses « crimes ». Comment les victimes peuvent-elles vivre en paix dans cette situation ?

Victimes indirectes des traumatismes, les enfants du génocide cambodgien, et aujourd’hui encore ses petits-enfants, sont marqués par un rapport étrange entre la vie et la mort. Comme si la vie était en suspension. Comme si la mort était une fatalité attendue au quotidien.

Marc, enseignant français, arrivé à Phnom Penh dans les années de reconstruction, découvre l’après-guerre, se sent missionnaire de la langue française et participe à former des esprits ouverts à un meilleur futur. Vite passionné par son travail et par le charme d’une ville aussi belle qu’anéantie, il s’engage sur une moto, sur un bateau, sur un projet fou, traverse une rivière pour en atteindre une autre et planter quelques pilotis…

De rêve en rive, et en dérive, sa vie va basculer dans le mythique fleuve Mékong, peu après la rencontre impromptue d’une âme perdue. Un enfant de la misère, Ptiot, victime de seconde génération, porte en lui un traumatisme qu’il essaie d’évacuer en se projetant au-delà de son propre horizon.

D’un quotidien vide, où il ne fait que rêver, … d’une autre rive, il va atteindre son but, s’envoler, tout en se cognant la tête à des obstacles. En lui, une malédiction. Celle-ci va le ronger, jusqu’au drame.

 

ISBN – 13 : 978 – 99963 – 881 – 0 – 1

 

 

 

2 réflexions sur “roman

  1. « déambulation en bibliothèque… »Il rêvait d’une autre rive », le titre m’interpelle, j’achète…

    belle surprise, belle lecture, belle histoire…

    des personnages d’une grande humanité, un récit interpellant, du souffle et des odeurs d’ailleurs…

    je je ferais circuler avec plaisir…

    ps : un reproche toutefois, l’éditeur n’a pas jugé utile de nous éclairer sur l’auteur, qui est-il?
    j’aurais aimé en savoir plus »

    michel L… Pondicherry

    J’aime

    • Cher lecteur Michel L…,
      Je vous remercie d’avoir aimé ce livre. C’est un premier roman.
      Vous pouvez me découvrir un peu à travers les lignes de mon personnage MARC puisque la moitié de cette histoire romanesque est vraie. Sinon, voyez l’interview qui a été faite de moi à Bangkok l’an dernier dans ce Blog. Enfin, sachez que je suis né près de la Belgique que j’aime, que j’ai passé 20 ans de jeunesse sportive dans la bonne et franche ville de Valenciennes, puis 20 ans dans des administrations économiques à Paris où je me suis parfois demandé ce que je faisais là et enfin 20 ans en Asie où j’ai deux amours (inassouvies) : le Cambodge et la Thaïlande.
      L’association AMICA que j’ai créée avec des amis m’a conduit à aimer les villageois plus que les grands de mes royaumes.
      Je vis cependant à Phnom Penh où j’ai la chance de temps en temps de donner mon avis sur les étapes du développement. Mais « l’oiseau » est souvent en vadrouille… et rêve de Pondichery. Au plaisir !
      JMorel
      Dans vingt ans, je vous en dirai plus…
      A moins que l’éditeur de mon prochain roman !?
      JM

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