LA CAMBODGIENNE

LA CAMBODGIENNE
ou les Cambodgiennes !

………………………………………………………… sous le regard d’Ajarn Jan.

Les célestes divinités sculptées sur les murs des temples d’Angkor de l’ancien empire khmer nous l’apprennent : la Cambodgienne est une « Apsara », une créature à la fois mythique et humaine, proche des dieux, qui transporta jusqu’à nos jours l’image idéalisée de la gente féminine. Dans la réalité comme dans l’art.
*
Dure réalité dans le Cambodge d’aujourd’hui : si on examinait, un à un, les problèmes sociaux, on devrait sans doute commencer par le dossier de « la place des femmes » puisqu’il recoupe plusieurs aspects essentiels du fonctionnement et des dysfonctionnements du pays. Les femmes sont ici si particulières que le pays offre un caractère matriarcal plutôt trompeur. En effet, elles demeurent au second niveau dans une société d’ex-guerriers.
*
Les institutions internationales, conscientes, et le gouvernement royal, se préoccupent de la situation de cambodgiennes exclues trop souvent des institutions et des bénéfices du développement naissant. Mais qui sont-elles donc ? Peut-on déceler entre elles des traits communs ? Comment trouvent-elles leur place dans une société dominée par le machisme ? Pourquoi donc apparaissent-elles pauvres et malheureuses et comment peuvent-elles sortir de leur condition actuelle ?
L’avenir, celui qu’elles construisent, envers et contre tout, sûrement le dira.
*
1 – NAÎTRE FEMME AU CAMBODGE, N’ÊTRE QU’UNE FEMME

( Si vous souhaitez accéder à l’intégralité de cet article LA CAMBODGIENNE, déplacez-vous sur le bandeau supérieur dans « Mes écrits » puis dans « Textes publiés ». )


Alerte : je recherche Madame OUK Monna, ancienne Secrétaire d’Etat à la Santé du GRC …

Un livre à lire ! … En vente au Cambodge dans toutes les bonnes librairies.

    »   IL RÊVAIT D’UNE AUTRE RIVE   « 


Publié par les Editions du Mékong à Phnom Penh. Vient de sortir !

10 $


JEAN MOREL

Le récit romanesque se déroule il y a vingt ans au Cambodge, entre l’arrivée d’un professeur français à Phnom Penh, les pagodes Wat Unalom et Wat Kien Khleang, et la vie d’un jeune cambodgien victime directe (ou indirecte ?) d’une éducation teintée de la violence issue de la période des Khmers Rouges.

Le roman commence et finit à Kompong Cham, une ville de province, là où légendes et Bouddhisme se confondent, entre ciel et rizières, entre douceur de la vie paysanne et violence des éléments climatiques.

Il décrit – avec quatre yeux – la capitale d’alors et les relations amusantes et particulières des Cambodgiens accueillant des « Barangs » séduits par la chaleur et par l’eau. Un regard poétique sur le noble Mékong et les arbres centenaires n’efface cependant pas le drame qui s’annonce …

La violence perdure t-elle chez les enfants des Khmers Rouges ? Une génération ne suffirait pas pour répondre à cette question ; seuls les traumatismes se soignent au contact d’un quotidien … qui s’améliore au fur et à mesure que l’on s’éloigne des crimes impunis du génocide.


Carnets d’Asie – Institut Français du Cambodge

Monument Books