LA CAMBODGIENNE
ou les Cambodgiennes !
………………………………………………………… sous le regard d’Ajarn Jan.
Les célestes divinités sculptées sur les murs des temples d’Angkor de l’ancien empire khmer nous l’apprennent : la Cambodgienne est une « Apsara », une créature à la fois mythique et humaine, proche des dieux, qui transporta jusqu’à nos jours l’image idéalisée de la gente féminine. Dans la réalité comme dans l’art.
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Dure réalité dans le Cambodge d’aujourd’hui : si on examinait, un à un, les problèmes sociaux, on devrait sans doute commencer par le dossier de « la place des femmes » puisqu’il recoupe plusieurs aspects essentiels du fonctionnement et des dysfonctionnements du pays. Les femmes sont ici si particulières que le pays offre un caractère matriarcal plutôt trompeur. En effet, elles demeurent au second niveau dans une société d’ex-guerriers.
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Les institutions internationales, conscientes, et le gouvernement royal, se préoccupent de la situation de cambodgiennes exclues trop souvent des institutions et des bénéfices du développement naissant. Mais qui sont-elles donc ? Peut-on déceler entre elles des traits communs ? Comment trouvent-elles leur place dans une société dominée par le machisme ? Pourquoi donc apparaissent-elles pauvres et malheureuses et comment peuvent-elles sortir de leur condition actuelle ?
L’avenir, celui qu’elles construisent, envers et contre tout, sûrement le dira.
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1 – NAÎTRE FEMME AU CAMBODGE, N’ÊTRE QU’UNE FEMME
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