L’opposition juridiquement supprimée au Cambodge

 

Le 16 novembre 2017 restera sans doute marquée comme une date triste dans l’Histoire , celle de la suppression par la Cour Suprême cambodgienne des partis d’opposition et de leurs élus, le principal leader, Kem Sokha, étant en prison inculpé de trahison.

Une marche en avant ou une marche en arrière ?

Cependant l’ancien chef de l’opposition cambodgienne, Sam Rainsy, exilé en France depuis 2015 avait annoncé  son retour en politique la veille de la décision de la Cour cambodgienne demandée par le gouvernement royal.

Que signifie cette décision anticipée et cette stratégie ?

Et là, ça ira dans quel sens ?

L’affaire politique des élections 2018 connaîtra donc de nouveaux épisodes.

 

 

 

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