L’art de table varie à l’international – Voir ouvrage Les Bonnes Manières de Jean Morel

Il faut savoir au moins ceci si vous voyagez :  

  • En Italie, vous serez surpris. Les pâtes et les pizzas sont souvent servies en entrées. Attention de ne jamais couper les pâtes avec votre couteau. Utilisez bien vos couverts. Quand à la cuillère, elle est aussi utile que la fourchette autour de laquelle ne pas enrouler les spaghetti ! Manger une part de pizza avec ses mains n’est possible que dans la vie quotidienne. Les Italiens aiment le cadeaux et sont joyeux. Parfois un peu tactiles.
  • En Allemagne – Soyez ponctuels et respectez les codes. Apporter un cadeau à ses hôtes est bienvenu. Une bouteille de vin, par exemple. Un bouquet de fleurs aussi.  Pas de roses, exceptées les jaunes. Serrez les mains de vos hôtes fermement au-début et à la fin de la rencontre. A table, la vaisselle est très choisie. Les boissons sont servies en mangeant. Répondez « Prost » quand le maître de maison lève son verre. Etiquette européenne prévaut partout. Vous aurez sûrement droit à découvrir des saucisses.
  • En Autriche – Le principal repas de la journée est le petit déjeuner, sachez-le. A base de diverses charcuteries, c’est le Fruhstuck ! Abstenez-vous de joindre vos amis locaux si vous ne mangez pas de porc. Les repas sont riches, les desserts sont consistants. On boit à table comme en Allemagne. Bières ou vins. Ne faites pas la fine bouche. Parlez musique ou danse en fin de repas…
  • En Espagne – Les manières de la Cour ne se retrouvent pas partout en ville où les tapas sont devenus un acte social espagnol mais le code des grandes tables de ce Royaume séculaire se rapproche de l’étiquette française. Le vin local n’a pas une grande notoriété mais les bonnes bouteilles valent d’être goûtées. Réceptions de classe dans ce royaume.
  • Au Portugal – La simplicité est plus de mise que les manières à table ou en réception. Si vous ne voyez pas le sel et le poivre sur la table, ne réclamez pas, ce serait impoli. De même pour la moutarde ou un autre condiment. Vous mangez comme on vous le présente et n’offensez pas le cuisinier ou la cuisinière en réclamant qqch.
  • En Suède – Soyez attentif aux belles choses, à l’art de la table et au respect de quelques bonnes manières. Il s’agit d’un Royaume qui attache de l’importance à l’art et au respect. C’est l’étiquette à la française qui prévaut avec les couverts face vers la nappe. Acceptez les repas de poissons, comme en Nornège.
  • En Suisse – Il est fortement recommandé d’aimer le fromage. Aussi le chocolat. Les Suisses sont souvent dans les manières, plus allemandes que françaises. Soyez respectueux et évitez les débats intellectuels sur : la neutralité, la démocratie; l’immigration… Et dites que la découverte d’un vin suisse est un ravissement.
  • Pays d’Amérique du Sud – très marqués par la culture de l’Espagne et du Portugal. De la simplicité et de la manière directe. Les repas sont dominés par la viande. Arrosées de grands vins que vous ne pouvez pas refuser en Argentine et au Chili.
  • En Inde, respectez vos hôtes et faites comme eux. Ne commencez pas à manger sans eux. e mangez surtout pas avec la main gauche impure mais vous pouvez avec la droite. Ne demandez pas à voir la cuisine en fin de repas ce qui serait très impoli. Evitez surtout de racontez que vous cherchez un bon steak de boeuf depuis trois jours…
  • En Afrique du Sud, l’étiquette occidentale est suivie dans les réceptions. Toutefois, il est possible de manger certaines choses avec les mains comme les fruits de mer. Surtout ne pas reposer votre serviette de table avant la fin du repas. La laisser sur vos genoux.
  • A Madagascar ou à Pondichéry – Parler le français est un signe de joie et d’accueil. Une belle réception malgache vous offre sept plats différents auxquels vous devez faire honneur.
  • Au Sénégal où l’étiquette à la française est parfois respectée, on ne boit qu’à la fin du repas. Buvez donc avant d’arriver à une invitation. Pays où l’on mange beaucoup à la cuillère. Placer en fin de repas sa cuillère retournée sur la nappe signifie que l’on a fini.
  • En Côte d’Ivoire, l’influence française est grande pour les réceptions bourgeoises malgré les grandes diversités culturelles. On invite assez souvent à dîner. Parmi bien des plats différents, vous n’éviterez pas la semoule de manioc et les bananes plantain.
  • En Egypte, ne posez pas votre main gauche sur la table ; les femmes seront sans doute absentes au repas des hommes. En fin de repas, acceptez de gouter au Narguileh. Fumez sans trop de crainte.
  • En Chine – Habituez vous aux tables rondes nécessairement, avec un centre de table tournant et permettrant de faire passer les nombreux plats devant chaque convive. La cuisine chinoise est la plus variée du monde. Profitez-en et découvrez. Attention, ce que vous vous servez : vous devez le manger ! Toutefois ne nettoyez pas votre assiette. Au contraire… Laisser des déchets est bien vu.
  • A Hong Kong, attention, vous êtes en Chine mais la culture britannique est passée par là. Adaptez-vous aux manières de la table chinoise; buvez du thé, Partout, ne retournez pas le poisson dans votre assiette, ce serait un signe de malchance. Pas de menu three courses, manger tous les plats qui arrivent sur la table; Servez-vous petit, Ce que vous prenez dans un plat devra être mangé.
  • Au Japon – Prenez soin d’arriver à l’heure. Apporter un cadeau à ses hôtes est plus que bienvenu car ils vont dépenser pour vous recevoir, souvent dans un restaurant, pas chez eux. Une bouteille de bon vin. Un bouquet de fleurs aussi. Ne lésinez pas. Evitez d’offrir des roses, exceptées peut-être les jaunes. Ne tendez pas la main. Inclinez-vous respectueusement. Au moins trois fois de la tête. En harmonie avec eux.
  • Aux Philippines – Malgré un grand mélange de cultures, vous serez déçu des petits-déjeuners mais pas des autres repas jusqu’au soir : dégustation de poissons, entre autres. Les Philippins aiment bien les fêtes et ils adorent s’habiller pour les réceptions. Aussi, ils adorent ensuite aller danser et surtout chanter, surtout avec vous. Faites un effort, c’est facile.
  • En Thailande – La table et le repas sont comme une messe. Suivez les rites et appréciez. Contrairement aux Chinois, les baguettes sont remplacées par des couverts. Pas de couteau. Comme souvent en Asie, la soupe arrive à la fin et pas en entrée. Les soupes du matin sont des délices qui vous évitent le café au lait et les tartines. Le pain est à bannir, excepté parfois avec icre cream ! Vous pouvez toujours ajouter du piment à vos plats et vos soupes, ou du poivre, ou du sucre, mais goutez d’abord ! En voyage goutez le riz gluant mangeable à la main en boule. Il y a du vin et surtout le blanc est respectabledans trois vignobles du Nord ayu Sud. Visez le vin de Korat en rouge
  • Au Cambodge – les meilleurs riz du monde. Le blanc mais pas seulement. Privilégiez le poisson sous toutes ses formes et notamment le Amok. La table est plus simple que la thaie mais le couteau est parfois utile dans ce pays, notamment pour les viandes et BBQ.. Il y a du pain presque partout dans les villes et les bourgs et vous pouvez en réclamer. Il est aussi apprécié dans les campagnes comme cadeau. Offrez une bouteille de vin français comme présent à une réception et pas de l’artisanat.
  • Au Vietnam. Les Français sont passés par là et la table est souvent soignée pour les réceptions; pas trop à la maison. Aimez la bière et le café filtre pour aimer un pays très vertical mais aux particularités régionales savoureuses; excepté le vin de … que l’on peut cependant dans le centre du pays découvrir. La soupe PHO est un incontournable.
  • Aux Antilles, carrefour de plein de codes différents, de l’Est, de l’Ouest et du Sud, le point commun des réceptions dans les îles sera la nourriture, soignée et originale. L’usage des mains est parfois possible. Mais la joie est toujours de mise de vous faire goûter des rhums et de multiples fruits.
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Le « riel » cambodgien, une monnaie unique !

L’Histoire de cette monnaie est vraiment unique ! L’Histoire du Cambodge est marquée depuis deux siècles par les efforts des Rois pour que la monnaie ne soit pas le RIZ, avec son troc un peu partout puis la politique de l’occupant peu avant son retrait…

Née en France des Accords de la Ville de Pau, Accords franco-Indochinois, de 1949, dans le cadre de l’organisation de l’Union française (cf journal Le Monde du 25 novembre 1950), la monnaie cambodgienne Riel fêtera ses 75 ans en 2025?

Elle a été instituée le 29 novembre 1950 alors que le Royaume était encore sous protectorat et que la France voulait mettre de l’ordre dans la situation économique et financières des pays de l’Indochine.

Doter d’une monnaie le Cambodge faisait partie de l’ensemble des mesures prises pour mettre de l’ordre dans les flux de la région.

Ce fut fait. Cependant, le RIEL devient vraiment le symbole de la souveraineté nationale des Khmers lorsque sera proclamée le 9 novembre 1953, l’Indépendance du Cambodge.

Fier symbole monétaire comme le dollar :

et Fête nationale annuelle le 9 novembre de chaque année.

Pas de pot ! La monnaie allait subir les divers obstacles et secousses politiques de cette période, de la guerre du Vietnam et de tous les troubles qui s’en suivirent.

Evidemment, le pays durant cette période n’accueillera plus aucun investisseur pour apporter des richesses et maintenir une monnaie locale bien trop faiblarde.

Un Blocus économique de l’ONU qui n’arrange rien pendant des années où les Khmers Rouges occupent le siège du Cambodge…

Au contraire, l’instabilité politique qui suivait le Sangkrum Reast Nyium, avec le coup d’Etat de Lon Nol approuvé par les Américains en 1974… conduisait à l’arrivée des Khmers Rouges en avril 1975 qui, eux, supprimaient toute monnaie et tout usage de monnaie. Echanges basés sur le TROC.

Le RIEL a donc été aboli par les KR jusqu’en 1979. Date où l’armée vietnamienne chasse les KR de Phnom Penh et instaure un régime nouveau appelé ETAT DU CAMBODGE.

Le Riel est réintroduit au début de l’année 1980, ayant pour valeur 4 Riels = 1 dollar.

On espèrait le renouveau ! Cependant le Vietnam est considéré « pays d’occupation » sur le territoire cambodgien et le dérapage du riel, voire sa possible disparition, ne pouvait que se faire sans le moindre soutien économique extérieur. Danger.

Au contraire.

Ce régime politique instaure une nouvelle Constitution an 1989 et l’armée vietnamienne se retire alors progressivement à la demande du leader gouvernemental khmer HUN Sen.

En 1990 des pourparlers de Paix sont envisagés alors que la guerre continue entre Khmers sur toutes les provinces frontalières. Il aboutiront en octobre 1991, à PARIS, alors que les marchés de Phnom Penh changent un dollar pour 500 riels en petites coupures par paquets puis par sacs, dérapage du change un peu plus tous les jours. Ce sont les fameux Accords de Paris.

Le Premier Ministre Hun Sen, signataires avec trois autres factions, demande alors au Ministre français des Affaires Etrangères, Roland Dumas, d’envoyer d’urgence, en 1992, au Cambodge un expert anti-inflation capable de sauver le RIEL dans un contexte nouveau d’économie de marché et face à l’arrivée des investisseurs en dollars. Et surtout de 20000 casques Bleus de l’APRONUC dont les dépenses se feront en dollars US.

Modestement l’Expert français, trouvé au Ministère de l’Economie et des Finances, J M, arrive en juillet 1992 où l’inflation dérape encore de mois en mois. Il faut changer les règles du jeu et réécrire le droit commercial, afin de créer une économie de marché crédible et stabiliser comptes au Trésor avec l’aide des Experts de la Banque Mondiale et à la Banque Nationale du Cambodge.

Une projet de Loi sur les Investissements est rédigée en 1993 (brouillon en français) pendant les élections et votée en khmer un an plus tard… Et les investisseurs arriveront doucement, comme les touristes, en 1994 !

La croissance du Cambodge repart en 1994 et 95… L’inflation perdure jusquen 1997 où quelques troubles politiques ressurgissent. Le Tourisme et les investisseurs sont cependant au RDV, avant et après le Coup d’Etat, et la Banque Nationale du Cambodge, confiante, augmentant ses réserves en devises étrangères, finit par réduire la masse monétaire en circulation et à stabiliser en 1998 la monnaie cambodgienne à 4000 riels !

La dollarisation de l’économie se fait en quelques mois de 1992. Tout se paie en dollars qui arrivent par paquets via les loyers de tous les bâtiments publics et privés loués aux arrivants, les contrats, la fourniture de biens et de services, les salaires des employés, les traducteurs, les taxis… De toutes les nationalités ! Un seul point commun, les dollars.

Le Riel flanche… L’inflation galope. Mais le pays s’enrichit. Les propriétaires s’enrichissent. Les étudiants trouvent soudain du travail…

Un dollar pour 1000, puis pour 2000 puis pour 3000 et un journaliste me demandant en off à 3500, « cela va s’arrêter à combien ?  » je repondis : peut-être 4000…

Les années 2000 voient la croissance économique du Royaume se stabiliser à 7 % de croissance et la Banque Nationale s’enrichit au point de créer une Musée de la Monnaie. Très bien conçu, il faut visiter le Musée SOSORO pour mesurer combien cette monnaie est Unique…

Depuis 1998, et actuellement, il faut 4000 riels pour 1 dollar.

Soit mille fois moins que son cours de 1980. Mais en divisant par 1000 sa monnaie par exemple sur le modèle Ancien Franc Nouveau Franc, dans vingt ans, le Cambodge retrouverait sa parité de de 4 pour un.

En attendant il faut dédollariser progressivement l’économie. Le Gouvernement royal y est déjà parvenu pour 15 %. Il faut que toutes les composantes économiques faissent des efforts pour augmenter ce chiffre, voire le doubler entre 2020 et 2030.

Allez donc visiter le Musée de la Monnaie SOSORO à Phnom Penh.

JMDF 2023 – 24

PARTIR ? France Thailande Cambodge…

Pendant la période du Covid, je me suis retrouvé confiné à Siem Reap et malgrè les plaisirs du calme et de la tranquillité de la douce rivière provinciale, j’ai du tuer l’ennui en me remettant à l’écriture, entre 2020 er 2021. Le manuscrit dormait dans un tiroir et en le sortant l’an dernier, j’ai trouvé qu’il pouvait faire plaisir aux gens qui me connaissent. Il est bien teinté de la poésie que l’aime et ne montre pas. Poème et musique des mots.

Mon premier roman date de près de dix ans et était une histoire cambodgienne, je dirais très cambodgienne. Cette fois – c’est aussi une suite – le personnage principal, Marc, est un voyageur, comme moi, qui se pose sans cesse la question du « Partir ? ». Et cherche encore son arrivée vers la plénitude… En chemin il rencontre des souffances qui le ramène vers un chef d’oeuvre artistique. Une statue exprimant trop de choses pour être une réponse.

 qui le ramène toujours à une sculpture de son enfance ?

Le lecteur partira en voyage avec moi entre l’Asie et la France. Je suis un Ch’ti qui a fait carrière à Paris et à Phnom Penh mais aussi enseigné quelques années en Thailande. Au moins trois vies en somme. Si vous voulez savoir où… partir prochainement…, allez consulter l’ouvrage qui sortira ce mois-ci à Phnom Penh seulement, Aux Carnets d’Asie et à Monument Books. Mais aussi dans toutes les bonnes adresses françaises de Siem Reap.

Le nouveau Phnom Penh 2024

Le « Petit Paris » de Phnom Penh

Au mois de mars, plusieurs grandes agences de presse ont publié des reportages du « Petit Paris » et de son Arc de Triomphe, situé sur Koh Pich (l’île du Diamant) à Phnom Penh. Ces images ont suscité l’intérêt des occidentaux.

Arc de Triomphe Phnom Penh

Le Petit Paris à Phnom Penh

Koh Pich est le nouveau quartier de Phnom Penh sur le Mékong et le Bassac. Le terrain était un marécage jusqu’en 2000, les paysans y cultivaient autrefois des légumes.

En 2015, des promoteurs ont lancé un projet commercial appelé « Elysée », développé par l’Overseas Cambodian Investment Corporation (OCIC) pour créer  le « Petit Paris ».  Il devient petit à petit le quartier résidentiel de Phnom Penh et une municipalité à part entière.

L’engouement dans la presse internationale, principalement en Europe, n’est pas seulement dû à l’impressionnante reproduction des codes architecturaux de la capitale française, mais est surtout lié à la nature du projet…  Il a été décrit par un média français et beaucoup d’autres comme « une enclave chic, destinée aux riches, permettant de se mettre à l’abri des embouteillages et de la pollution sonore dans l’un des pays les plus pauvres d’Asie… »

Mais tout cela reflète surtout une méconnaissance du Cambodge d’aujourd’hui. Dans la vision de beaucoup de personnes encore, le pays reste tel qu’il était dans les années 1990, c’est-à-dire un pays en reconstruction après deux décennies de guerre civile et les années dévastatrices du régime des Khmers rouges.

C’est donc avec surprise que l’on découvre qu’en 2024, Phnom Penh est remplie de gratte-ciel, que d’immenses fortunes ont été amassées dans cette ville et que le Cambodge, qui connaît une croissance économique régulière, vise à devenir un pays à revenu moyen supérieur d’ici 2030 et un pays à revenu élevé d’ici 2050.

N’étant plus sous les feux des projecteurs depuis quelques années, le Cambodge s’était presque fait oublier et la mutation qu’il a connue au cours de cette dernière décennie est passée inaperçue aux yeux du monde.

Désormais, une nouvelle génération de dirigeants prend peu à peu les rênes du pays sous l’œil vigilant des anciens.

Cette génération parviendra-t-elle à donner une nouvelle image au Cambodge ?

C’est l’un des défis qu’elle doit relever.

Le Petit Journal Cambodge 12 avril 2024

A votre Santé, Singapour !

A votre santé, ce n’est pas un encouragement à boire !

Mais c’est un constat que la Santé des Singapouriens est une des meilleures du monde, au moins du fait de l’environnement sanitaire de la population par des Autorités qui prennent les mesures nécessaires pour se faire…

Nous savons maintenant que les humains qui ont la meilleure santé dans le monde (sur Terre) et les meilleurs soins médicaux, sont à Singapour. Les statistiques peu à peu en font foi.

Les conditions sanitaires du pays sont très sûres. Le paludisme n’y sévit pas depuis longtemps. La transmission de la dengue est sporadique ou inexistante depuis plusieurs années.

Les hopitaux les meilleurs du monde et sont sûrs, compétents et équipés.

La nourriture est saine. Les soupes de nouilles, bouillies, sont toujours recommandées.

L’eau est potable à peu près partout dans ce petit pays considéré comme une île mais en fait la pointe Sud de la Malaisie.

Pour les touristes, rien n’est exigé. Comme partout dans le monde prenez le précaution du Tétanos.

Si ce n’est pas le cas, les vaccins contre l’hépatite A et la fièvre typhoïde sont parfois recommandés par les agences de voyages mais pas par les compagnies aériennes.

Néanmoins, attention aux visas d’entrée et de sortie. Tout est sérieux et rigide dans ce petit Etat grand comme un bijou en or massif !